1- le duathlon de La Rochebeaucourt, samedi 2
Suite à Parthenay, enchainer sur un second duathlon six jours plus tard n'était vraiment pas simple, surtout en voulant s'entrainer normalement au moins trois jours ! Donc le miracle n'a pas eu lieu : des sensations bien éloignées du we précédent. Les causes ? Évidemment le manque de fraicheur, cumulé aux parcours vallonnés compliquant la gestion de course avec des changements de rythme incessants. Je termine néanmoins 4ème à environ 1'20 du vainqueur Victorien Lafargue. Bravo aux athlètes du podium, ils étaient plus forts que moi ce jour là !
Sinon, deux grosses satisfactions sur cette course
- le retour fracassant à la compétition de mon pote Eric Péricaud. Cela fait vraiment plaisir et j'ai même failli titrer cet article "Le retour du uber biker !!! " pour lui rendre hommage ;-)
- la victoire par équipe, grâce à Eric donc et Nicolas Pizzol - qui a rejoint le Team Charentes à l'inter-saison.
2- les 10km FFA de La Rochefoucauld, samedi 9
Les objectifs étaient multiples : 1- faire une grosse séance qualitative, 2- battre mon très vieux record de 34'07 établi il y a bien longtemps..., 3- casser la barre symbolique des 34'.
Un résumé de la course ici
Malgré de très bonnes sensations, je n'aurai pas un sub34 sur les tablettes de la FFA. Vraisemblablement la conséquence d'une trop faible densité m'obligeant à courir seul à partir du 5ème km, et surtout d'un mauvais marquage des kilomètres par l'organisation (Nico, si tu lis ces lignes, merci pour ton analyse). Car en passant 9'36 au 3ème, 16'24 au 5ème et 30'09 au 9ème, j'ai fantasmé toute la course sur un 33'40...
Quand je me suis rendu compte à environ 300m de la ligne que mon chrono indiquait déjà 33'00, il était trop tard et l'accélération finale n'y a rien changé. Un dernier kilomètre en 3'53 - impossible vu l'allure soutenue - vient donc créditer la thèse du marquage erroné et expliquer par la même occasion les temps de passage trop flatteurs.
Je ne vous cache pas que la pilule a été difficile à avaler pendant la soirée qui a suivi la course...
48h plus tard, je retiens surtout la validation d'un entrainement hivernal qui me dote d'une belle base de vitesse à pied et en vélo. Il est temps à présent de retrouver sérieusement le chemin de la piscine et d'augmenter le volume global pour espérer débuter correctement la saison de triathlon le 1er mai sur le traditionnel CD de Saintes.
Suite à Parthenay, enchainer sur un second duathlon six jours plus tard n'était vraiment pas simple, surtout en voulant s'entrainer normalement au moins trois jours ! Donc le miracle n'a pas eu lieu : des sensations bien éloignées du we précédent. Les causes ? Évidemment le manque de fraicheur, cumulé aux parcours vallonnés compliquant la gestion de course avec des changements de rythme incessants. Je termine néanmoins 4ème à environ 1'20 du vainqueur Victorien Lafargue. Bravo aux athlètes du podium, ils étaient plus forts que moi ce jour là !
Sinon, deux grosses satisfactions sur cette course
- le retour fracassant à la compétition de mon pote Eric Péricaud. Cela fait vraiment plaisir et j'ai même failli titrer cet article "Le retour du uber biker !!! " pour lui rendre hommage ;-)
- la victoire par équipe, grâce à Eric donc et Nicolas Pizzol - qui a rejoint le Team Charentes à l'inter-saison.
2- les 10km FFA de La Rochefoucauld, samedi 9
Les objectifs étaient multiples : 1- faire une grosse séance qualitative, 2- battre mon très vieux record de 34'07 établi il y a bien longtemps..., 3- casser la barre symbolique des 34'.
Un résumé de la course ici
Malgré de très bonnes sensations, je n'aurai pas un sub34 sur les tablettes de la FFA. Vraisemblablement la conséquence d'une trop faible densité m'obligeant à courir seul à partir du 5ème km, et surtout d'un mauvais marquage des kilomètres par l'organisation (Nico, si tu lis ces lignes, merci pour ton analyse). Car en passant 9'36 au 3ème, 16'24 au 5ème et 30'09 au 9ème, j'ai fantasmé toute la course sur un 33'40...
Quand je me suis rendu compte à environ 300m de la ligne que mon chrono indiquait déjà 33'00, il était trop tard et l'accélération finale n'y a rien changé. Un dernier kilomètre en 3'53 - impossible vu l'allure soutenue - vient donc créditer la thèse du marquage erroné et expliquer par la même occasion les temps de passage trop flatteurs.
Je ne vous cache pas que la pilule a été difficile à avaler pendant la soirée qui a suivi la course...
48h plus tard, je retiens surtout la validation d'un entrainement hivernal qui me dote d'une belle base de vitesse à pied et en vélo. Il est temps à présent de retrouver sérieusement le chemin de la piscine et d'augmenter le volume global pour espérer débuter correctement la saison de triathlon le 1er mai sur le traditionnel CD de Saintes.
