mardi 20 novembre 2007

Microcycle CHOC !!!

55 km de course à pied en moins de 24h, voilà l'explication du titre, j'ai donc réalisé ce we ma plus grosse charge d'entrainement jamais réalisé dans cette discipline. Merci à mon pote Michel de m'avoir accompagné.
Pour la mise en oeuvre, 3 séances organisées comme suit :
samedi fin de matinée = 18 km
samedi minuit = 18 km
dimanche 8:00 = 19 km (à jeun)
Pour les allures, un mix d'endurance basse et d'endurance active et pour les supports, un mix de trail et de bitume, histoire de retrouver les spécificités de la SaintéLyon.
Ces 2 jours font partie d'un cycle de travail de 8 jours qui s'achèvera demain avec normalement 130 km au total.
Il s'agira alors de bien assimiler cette charge et de se reposer au maximum d'ici la fin de la semaine prochaine.
En photo : ma nouvelle frontale (j'ai un peu craqué mais bon, comme tout matériel technique, mieux vaut mettre un peu plus de prix et avoir un produit de haute qualité)
A+
Fred

5 commentaires:

Anonyme a dit…

j ai mal aux jambes pour toi rien qu en lisant!!
il devait faire chaud à minuit samedi soir?
bon courage à vous 2

Anonyme a dit…

Heureusement que tu as mal au tendon d'Achille :-)
Courage à vous ... si t'as besoin j'ai la meme frontale mais avec la batterie sur le haut (sur tête)!

atelacs a dit…

Attention duchos, grâce aux grèves ici à Paris, on commence à te rattraper niveau quantité :-) Jamais fait autant de sport que depuis ces grèves. On aurait presque besoin de la frontale pour le soir ... Bon courage les gars

Nick a dit…

Punaise, ça c'est du training sérieux. Bonne récup, Fred...

Anonyme a dit…

Ce Fred, il inventerait n'importe quoi pour ne pas aller au bal !
Bon, ceci étant, ce ne doit pas être facile de courir habillé en esquimau.
Avez-vous pensé à emporter un fusil, au cas où vous rencontreriez un ours polaire ou une meute de loups ? Remarquez, ça vous aiderez peut-être à approcher le record de l'épreuve.
Je ne vous souhaite pas bon courage car je sais que vous n'en manquez pas.
Alors amusez-vous bien ... et surtout ne vous faites pas mal (comme disait ma maman).
A bientôt,
Fabrice.