Près de sept semaines après le LD de Sireuil, je ne vais pas faire un compte-rendu dépourvu d'intérêt. Je vais plutôt tenter de traduire mon sentiment suite à ma course à pied de ce jour là, puisque le chrono établi vient récompenser le travail effectué depuis de nombreuses saisons.
Le triathlon longue distance a la particularité de faire la part belle à plusieurs paramètres : gestion de l'allure de course, choix de matériel, gestion de l'alimentation, orientation de l'entrainement... à la différence du courte distance où la "cylindrée" de l'athlète est prépondérante sur le résultat final.
C'est ce point là associé à mon faible niveau aquatique qui m'ont conduit vers ces horizons depuis plusieurs années. Et le phénomène est amplifié pour l'épreuve de course à pied puisque celle-ci se réalise avec un organisme déjà éprouvé par au moins 2h30' d'effort. Autant dire que les cartes sont redistribuées et que ceux qui n'ont pas été servi par dame VO2max peuvent alors s'appuyer sur les atouts évoqués plus haut ;-)
Même si cela peut paraître présomptueux, je me savais capable d'un tel chrono, mais je courais après depuis de nombreuses courses !!! Je ne compte plus les triathlons où j'ai été contrarié soit par des problèmes de ventilation soit par une alimentation défaillante entrainant des soucis gastriques, alors que musculairement, les jambes répondaient parfaitement.
La patience et la persévérance m'auront finalement permis de maîtriser ces nombreux paramètres et de produire une partition quasi-parfaite, en d'autres termes exploiter pleinement mon potentiel intrinsèque.
Sauf erreur de ma part dans mes recherches, j'ai établi la meilleure marque depuis que le triathlon de Sireuil a revu le jour en 2004. Il est certes très difficile de comparer des chronos d'une année à l'autre, mais j'ai fait jeu égal à posteriori avec des athlètes reconnus pour leur qualités naturelles de coureur à pied. Je citerai juste Stephan Duffau et son record marathon sous les 2h30, Lionel Roye et Trévor Delsaut, dont je ne connais pas les références précises mais qui me rendent au bas mot 2 minutes sur un 10km FFA.
Voilà de quoi satisfaire pleinement le besogneux que je suis !
Et arriver 10' après Simon déjà interviewé, douché et massé, suffit à replacer ma performance globale à son juste niveau régional ;-)
Le triathlon longue distance a la particularité de faire la part belle à plusieurs paramètres : gestion de l'allure de course, choix de matériel, gestion de l'alimentation, orientation de l'entrainement... à la différence du courte distance où la "cylindrée" de l'athlète est prépondérante sur le résultat final.
C'est ce point là associé à mon faible niveau aquatique qui m'ont conduit vers ces horizons depuis plusieurs années. Et le phénomène est amplifié pour l'épreuve de course à pied puisque celle-ci se réalise avec un organisme déjà éprouvé par au moins 2h30' d'effort. Autant dire que les cartes sont redistribuées et que ceux qui n'ont pas été servi par dame VO2max peuvent alors s'appuyer sur les atouts évoqués plus haut ;-)
Même si cela peut paraître présomptueux, je me savais capable d'un tel chrono, mais je courais après depuis de nombreuses courses !!! Je ne compte plus les triathlons où j'ai été contrarié soit par des problèmes de ventilation soit par une alimentation défaillante entrainant des soucis gastriques, alors que musculairement, les jambes répondaient parfaitement.
La patience et la persévérance m'auront finalement permis de maîtriser ces nombreux paramètres et de produire une partition quasi-parfaite, en d'autres termes exploiter pleinement mon potentiel intrinsèque.
Sauf erreur de ma part dans mes recherches, j'ai établi la meilleure marque depuis que le triathlon de Sireuil a revu le jour en 2004. Il est certes très difficile de comparer des chronos d'une année à l'autre, mais j'ai fait jeu égal à posteriori avec des athlètes reconnus pour leur qualités naturelles de coureur à pied. Je citerai juste Stephan Duffau et son record marathon sous les 2h30, Lionel Roye et Trévor Delsaut, dont je ne connais pas les références précises mais qui me rendent au bas mot 2 minutes sur un 10km FFA.
Voilà de quoi satisfaire pleinement le besogneux que je suis !
Et arriver 10' après Simon déjà interviewé, douché et massé, suffit à replacer ma performance globale à son juste niveau régional ;-)
2 commentaires:
le bandeau revient à la mode, qu on se le dise
j ai verifié aussi, effectivement le chrono est bien le meilleur, juste devant simon billeau je crois de qq seconde...
tu nous fait la meme à royan !!!
En fait, le secret c'est le bandeau justement ! C'est lui qui fait courir plus vite ;-)
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